Du fait de leur caractère attractif, Dakar et le littoral concentrent la majeure partie de la population, des industries et des services du pays. Ceci ne manque pas de poser de nombreux problèmes auxquels il faut apporter des solutions.
La zone sylvo-pastorale se situe dans la partie la plus aride et la plus chaude du pays et appartient au domaine climatique sahélien caractérisé par de fortes températures, des pluies faibles et une végétation peu abondante.
La faiblesse du peuplement et la prédominance des activités rurales ne favorisent pas un développement urbain et font du Ferlo une zone essentiellement rurale.
Les conditions climatiques défavorables ainsi que le manque d'eau et de surfaces d'eau rendent le Ferlo très vulnérables. Ainsi plusieurs solutions ont été envisagées afin de fixer les éleveurs peuhls.
I. Les problèmes
Le Ferlo est confronté à plusieurs types de problèmes :
La vallée du Fleuve Sénégal couvre l'extrême nord et le nord-est du territoire sénégalais. Elle occupe une superficie de $240\ 000$ hectares et se présente comme un immense arc de cercle qui s'étire sur $700\,Km$ de long de Saint-Louis à Bakel. Sa largeur peut atteindre par endroits $25\,Km.$
La vallée du fleuve Sénégal est une région contrastée avec des zones rurales et des zones urbaines qui ont assurent diverses fonctions et entretiennent plusieurs types de rapports.
I. Organisation de l'espace
Dans la vallée du fleuve Sénégal les populations sont regroupées autour de plusieurs zones.
Les conditions naturelles dans la vallée du fleuve sont favorables aux activités traditionnelles qui portent sur l'agriculture, l'élevage et la pêche surtout.
I. Les fondements des activités
Dans la vallée toutes les activités traditionnelles reposent sur trois éléments : le Walo, le Diéri et les apports d'eau.
Ils concernent les activités agricoles et industrielles et utilisent des moyens financiers et techniques importants. Ils sont entre les mains de sociétés publiques ou privées.
I. Les types d'aménagements
Il existe plusieurs types d'aménagements réalisées par des sociétés privées ou publiques.
La Casamance est une région naturelle située au sud du pays, entre $12^{\circ}20'$ et $13^{\circ}$ de latitudes nord et entre $16^{\circ}$ et $16^{\circ}50'$ de longitudes ouest. Elle occupe une superficie de $28.300\,Km^{2}$ soit le $1/7$ du territoire national. La Casamance comprend depuis la dernière réforme administrative du $02$ février $2008$, les régions administratives de Ziguinchor, de Kolda et de Sédhiou. Elle est limitée :
La Casamance est une région particulière qui se particularise des autres zones du pays de par ses énormes potentialités édaphiques, climatiques, hydrographiques et biogéographiques.
La région naturelle de la Casamance souffre d'un certain nombre de problèmes. Même si les potentialités sont énormes, des solutions adéquates donneraient à cette région tout son dynamisme.
I. Les problèmes
La Casamance est confronté à de nombreux problèmes :
Le Haut-Sénégal correspond pour l'essentiel au Sénégal oriental. Il couvre une importante superficie : $51\ 958\,km^{2}$ soit $30\%$ du territoire national. Il est situé entre $12^{\circ}20$ et $15^{\circ}10$ de latitude Nord et de $11^{\circ}20$ et $14^{\circ}50$ de longitude Ouest Le Haut-Sénégal est limité :
$\surd\ $Au nord par la vallée du fleuve Sénégal ;
Le Haut-Sénégal est différent du reste du pays du point de vue du relief, du climat et de l'hydrographie. Il possède des ressources forestières et minières très importantes.
Le Haut-Sénégal est une zone particulièrement rurale. La faiblesse du peuplement et l'immensité de la région n’ont pas favorisé un développement urbain conséquent.
La bonne pluviométrie et la diversité des paysages du Haut-Sénégal sont favorables à l'activité agricole et à l'élevage. La culture du coton et l'exploitation des ressources minières favorisent le développement industriel de la zone.